Il y a des matins où quand on voit la météo (3°C, de la pluie, du vent…)
on se demande pourquoi on n’est pas resté dans son lit…
Vu qu’on s’est levé, on a fait la route jusqu’à St Benoit (86)…et qu’on est 800 à se poser la même question quand on nous annonce que les conditions vont être « difficiles »…autant courir ; Thierry Boutolleau sur le 23.5 km et Bonbon rose sur le 15.5 km pour les 12-14.
C’est parti pour le bain de boue, des glissades, chacun son style et son rythme dans le dérapage…+ ou – contrôlé…quelques figures non homologuées J (va falloir que j’apprenne à chuter élégamment…ou que je travaille mon anti-dérapage)… Point de piste blanche ou verte à l’horizon…que du marron, mais toujours une bonne ambiance et une solidarité dans la difficulté.
Thierry finit les 23.5 en 2h34 et moi les 15.5 en 1h40 avec la bise au local Jérôme Le Pictave pour grimper la dernière côte...d’ailleurs, cet « arrêt » m’aura valu de me faire doubler par le vainqueur….du 23…à 200m de l’arrivée…il a juste eu le temps de faire 8km de + que moi sur le même temps…pfffff…
Mais là où on sait qu’on est accueilli comme à la maison quand on va à St Benoit, c’est quand les gentils bénévoles supers accueillants vous servent la soupe bien chaude dans le hangar à l’arrivée et que ça sent bon le vin chaud à la buvette J
NB : Mais que fait un BALAI dans la soupière ? …. C’est étrange….
Et cette année, il y a eu l’épreuve après l’épreuve…réussir à sortir les voitures du champ…après avoir enlevé quelques kilos de boue collés…partout…
Merci aux hommes costauds présents, qui n’ont pas chômé…c’était un beau chantier, le terrain est bien labouré maint’nant J
